Le veau Marengo
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Le veau Marengo
Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd’hui, la rédaction du ministère de la défense propose de vous expliquer l’origine d’une recette qui doit son origine à une bataille : le veau/poulet Marengo.
Le veau Marengo
Comment une recette de cuisine peut-elle être liée à une bataille ? C’est ce que nous allons voir…
Tout d’abord, direction le petit village de Marengo, dans le Piémont italien, pour retrouver Napoléon 1er et ses troupes. Nous sommes le 14 juin 1800 et Bonaparte vient de remporter une bataille contre les Autrichiens. Il ne reste plus grand-chose dans les cuisines du camp et Napoléon commence à avoir un petit creux. Pour le contenter, Dunand, chargé de sa table, lui sert ce que l’on appellerait aujourd’hui un « plat d’étudiant », c’est-à-dire un plat élaboré avec ce qui lui tombe sous la main. Armé de ses fonds de placard, le cuisinier s’affaire : il fait revenir du poulet dans de l’huile d’olive avec des tomates et de l’ail, et sert le tout accompagné d’œufs frits, d’écrevisses et de croûtons de pain. Bon, il est vrai que les étudiants n’ont pas forcément ce genre de produits dans leurs placards, mais le principe reste le même, non ?
Toujours est-il que Napoléon aime vraiment et demande à ce qu’on lui resserve ce plat. Au fil du temps, Dunand remplace le poulet par du sauté de veau, les écrevisses par des champignons et les œufs frits par des oignons glacés et un demi verre de vin blanc. Du plat originel, il garde la sauce qu’il appelle « sauce Marengo », en souvenir de la victoire de Bonaparte.
source : ministère de la défense
Le veau Marengo
Comment une recette de cuisine peut-elle être liée à une bataille ? C’est ce que nous allons voir…
Tout d’abord, direction le petit village de Marengo, dans le Piémont italien, pour retrouver Napoléon 1er et ses troupes. Nous sommes le 14 juin 1800 et Bonaparte vient de remporter une bataille contre les Autrichiens. Il ne reste plus grand-chose dans les cuisines du camp et Napoléon commence à avoir un petit creux. Pour le contenter, Dunand, chargé de sa table, lui sert ce que l’on appellerait aujourd’hui un « plat d’étudiant », c’est-à-dire un plat élaboré avec ce qui lui tombe sous la main. Armé de ses fonds de placard, le cuisinier s’affaire : il fait revenir du poulet dans de l’huile d’olive avec des tomates et de l’ail, et sert le tout accompagné d’œufs frits, d’écrevisses et de croûtons de pain. Bon, il est vrai que les étudiants n’ont pas forcément ce genre de produits dans leurs placards, mais le principe reste le même, non ?
Toujours est-il que Napoléon aime vraiment et demande à ce qu’on lui resserve ce plat. Au fil du temps, Dunand remplace le poulet par du sauté de veau, les écrevisses par des champignons et les œufs frits par des oignons glacés et un demi verre de vin blanc. Du plat originel, il garde la sauce qu’il appelle « sauce Marengo », en souvenir de la victoire de Bonaparte.
source : ministère de la défense
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