La campagne de tireur d’élite ICASD dévoile son classement
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La campagne de tireur d’élite ICASD dévoile son classement
Du 11 au 23 octobre 2014, Djibouti a été le théâtre de la campagne internationale de tireurs d’élites longue distance (International Concentration for Advanced Sniping in Djibouti ou ICASD). Organisé par le Groupement de Forces Spéciales (GFS) avec le soutien des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), cet événement, créé par les commandos marine il y a douze ans, est l’occasion pour des tireurs d’élite de tous horizons de confronter leurs performances.
Le 1er régiment parachutiste d’infanterie de marine (1erRPIMa), le commando parachutiste de l’air n°10 (CPA 10), les commandos marine, ainsi que le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) ont participé à ce challenge de tir longue distance. Les Navy Seals américains ainsi que deux unités des forces spéciales italiennes ont également été invitées.
C’est après 15 jours de compétition intense que le verdict est rendu. Deux classements ont été réalisés : une catégorie par binôme, et une catégorie individuelle. Le classement par équipe a vu se distinguer le commando de Montfort, les Navy Seals américains et un binôme du commando Hubert. Pour le classement individuel un marin des Navy Seals américain un soldat des forces spéciales italiennes et un gendarme du GIGN occupent le podium.
FFDj : La campagne de tireur d’élite ICASD dévoile son classement
L’ICASD permet aux unités présentes de partager leurs connaissances et de s’entrainer dans des conditions proches des théâtres où ils sont engagés. Constitués en 12 binômes (un tireur et un spotter, assurant l’observation du tir et déterminant les éventuelles corrections), les participants se confrontent sur treize épreuves (tirs de nuit, parcours dynamique, tir à distances inconnues, etc.). Chaque épreuve rapporte un certain nombre de points. Ces derniers ont ensuite été additionnés afin d’avoir le classement général.
En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. Elles participent ainsi au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, les FFDj bénéficient d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.
Sources : État-major des armées
Droits : Ministère de la Défense
Le 1er régiment parachutiste d’infanterie de marine (1erRPIMa), le commando parachutiste de l’air n°10 (CPA 10), les commandos marine, ainsi que le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) ont participé à ce challenge de tir longue distance. Les Navy Seals américains ainsi que deux unités des forces spéciales italiennes ont également été invitées.
C’est après 15 jours de compétition intense que le verdict est rendu. Deux classements ont été réalisés : une catégorie par binôme, et une catégorie individuelle. Le classement par équipe a vu se distinguer le commando de Montfort, les Navy Seals américains et un binôme du commando Hubert. Pour le classement individuel un marin des Navy Seals américain un soldat des forces spéciales italiennes et un gendarme du GIGN occupent le podium.
FFDj : La campagne de tireur d’élite ICASD dévoile son classement
L’ICASD permet aux unités présentes de partager leurs connaissances et de s’entrainer dans des conditions proches des théâtres où ils sont engagés. Constitués en 12 binômes (un tireur et un spotter, assurant l’observation du tir et déterminant les éventuelles corrections), les participants se confrontent sur treize épreuves (tirs de nuit, parcours dynamique, tir à distances inconnues, etc.). Chaque épreuve rapporte un certain nombre de points. Ces derniers ont ensuite été additionnés afin d’avoir le classement général.
En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. Elles participent ainsi au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, les FFDj bénéficient d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.
Sources : État-major des armées
Droits : Ministère de la Défense
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