La maladie du légionnaire
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La maladie du légionnaire
Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd’hui, la rédaction propose de vous expliquer l’origine du nom d’une maladie : la légionellose, ou « maladie du légionnaire ».
Légionellose
La légionellose, ou « maladie du légionnaire », doit bien son nom aux militaires, mais pourquoi ? Cela vient-il d’une arme chimique ou d’un programme militaire caché ?
Eh bien non. Cette maladie a été reconnue pour la première fois en juillet 1976. Cette année-là, le 58e congrès de l’American Legion, un congrès d’anciens combattants de l’armée américaine, se tient du 21 au 24 juillet à Philadelphie, à l’hôtel Bellevue-Stratford. Le système de climatisation, datant de 1954, donne quelques signes de faiblesse. Un jeune employé est chargé de le contrôler, mais il tombe malade la veille de la convention (maux de tête, courbatures…). Le 23 juillet, deux organisateurs et plusieurs légionnaires souffrent d’un « mauvais rhume ». Le 26 juillet, une bonne partie des congressistes est clouée au lit et le 30 juillet, quatre légionnaires meurent d’une pneumonie. De retour chez eux après la convention, plusieurs anciens soldats sont hospitalisés. Les médecins des différents États font peu à peu le lien entre les symptômes des malades et leur présence à Philadelphie. Au terme de cette première épidémie, on compte 182 cas, dont 29 décès.
Ce n’est que le 27 décembre qu’un médecin observe une nouvelle bactérie sur le fragment du poumon d’un organisateur décédé. Cette bactérie, responsable de l’épidémie, sera baptisée quelques années plus tard Legionella pneumophilia.
source : ministère de la défense
Légionellose
La légionellose, ou « maladie du légionnaire », doit bien son nom aux militaires, mais pourquoi ? Cela vient-il d’une arme chimique ou d’un programme militaire caché ?
Eh bien non. Cette maladie a été reconnue pour la première fois en juillet 1976. Cette année-là, le 58e congrès de l’American Legion, un congrès d’anciens combattants de l’armée américaine, se tient du 21 au 24 juillet à Philadelphie, à l’hôtel Bellevue-Stratford. Le système de climatisation, datant de 1954, donne quelques signes de faiblesse. Un jeune employé est chargé de le contrôler, mais il tombe malade la veille de la convention (maux de tête, courbatures…). Le 23 juillet, deux organisateurs et plusieurs légionnaires souffrent d’un « mauvais rhume ». Le 26 juillet, une bonne partie des congressistes est clouée au lit et le 30 juillet, quatre légionnaires meurent d’une pneumonie. De retour chez eux après la convention, plusieurs anciens soldats sont hospitalisés. Les médecins des différents États font peu à peu le lien entre les symptômes des malades et leur présence à Philadelphie. Au terme de cette première épidémie, on compte 182 cas, dont 29 décès.
Ce n’est que le 27 décembre qu’un médecin observe une nouvelle bactérie sur le fragment du poumon d’un organisateur décédé. Cette bactérie, responsable de l’épidémie, sera baptisée quelques années plus tard Legionella pneumophilia.
source : ministère de la défense
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Opération Chammal : renforcement du dispositif français
À l’issue du conseil restreint de défense du mercredi 1er octobre 2014, le Président de la République a été décidé de renforcer le dispositif militaire français engagé dans l’opération Chammal. Parmi les moyens prochainement déployés, trois Rafale viendront compléter les capacités aériennes déjà placées aux ordres de l’amiral commandant la zone océan Indien.
A l’issue du conseil restreint de défense du mercredi 1eroctobre 2014, au cours duquel le Président de la République a décidé de renforcer le dispositif militaire français engagé dans l’opération Chammal, l’état-major des armées a notamment ordonné :
le déploiement de trois avions de chasse Rafale qui viendront compléter les capacités aériennes déjà placées aux ordres de l’amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN). Le dispositif français sera ainsi porté à neuf Rafale, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et un avion ravitailleur C135-FR ;
le déploiement d’une frégate anti-aérienne dans le golfe arabo-persique ;
le renforcement de la participation des officiers de liaison français au sein des structures de commandement alliées dans le golfe arabo-persique.
Ces moyens seront progressivement déployés au cours des prochains jours.
Ce renfort vise à densifier le soutien aérien apporté aux forces irakiennes, en termes de renseignement et reconnaissance armée. Il permettra également de disposer d’un moyen naval capable de participer, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.
Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste Daech.
Sources : Etat-major des armées
Droits : Ministère de la Défense
A l’issue du conseil restreint de défense du mercredi 1eroctobre 2014, au cours duquel le Président de la République a décidé de renforcer le dispositif militaire français engagé dans l’opération Chammal, l’état-major des armées a notamment ordonné :
le déploiement de trois avions de chasse Rafale qui viendront compléter les capacités aériennes déjà placées aux ordres de l’amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN). Le dispositif français sera ainsi porté à neuf Rafale, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et un avion ravitailleur C135-FR ;
le déploiement d’une frégate anti-aérienne dans le golfe arabo-persique ;
le renforcement de la participation des officiers de liaison français au sein des structures de commandement alliées dans le golfe arabo-persique.
Ces moyens seront progressivement déployés au cours des prochains jours.
Ce renfort vise à densifier le soutien aérien apporté aux forces irakiennes, en termes de renseignement et reconnaissance armée. Il permettra également de disposer d’un moyen naval capable de participer, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.
Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste Daech.
Sources : Etat-major des armées
Droits : Ministère de la Défense
BRIOCHIN- Messages : 590
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